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jack

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  1. Mourir ensemble: faire la guerre en famille en Ukraine AFP Marta Syntchina, 25 ans, et son père Ivan Syntchine, en janvier dernier. Lorsque Marta Syntchina a été envoyée pour la première fois comme infirmière militaire dans l’est de l’Ukraine, en pleine invasion russe, son père et elle, déployés dans la même brigade, ont décidé de ne pas en parler à la mère de la famille. • À lire aussi: Cette députée ukrainienne veut absolument légaliser le mariage gai pendant la guerre «Maman n’a pas su que j’étais ici pendant longtemps», explique la jeune femme à l’AFP, assise à côté de son père, Ivan Syntchine, sur un banc de Droujkivka, localité où elle soigne des combattants ukrainiens blessés. «Nous n’avons rien dit au début pour ne pas qu’elle pleure», dit-elle. AFP Marta Syntchina, 25 ans, et son père Ivan Syntchine, en janvier dernier. Mais une fois qu’elle l’a appris, la maman était rassurée que fille et père soient ensemble. Marta, 25 ans, s’est engagée sept mois avant l’invasion de l’Ukraine. L’est du pays était déjà en proie depuis 2014 à un conflit contre des séparatistes prorusses pilotés par la Russie, mais à l’époque, elle ne voyait que quelques blessés par mois. Aujourd’hui, elle dit en soigner un nombre incalculable. AFP En s’engageant, Marta a fait comme son père après avoir suivi l’exemple de sa mère en faisant des études en médecine, avec une formation de sage-femme. «Avant, mon travail consistait à faire naître la vie, mais maintenant, il s’agit de la sauver», explique-t-elle, fourrant ses mains dans sa veste. Si Ivan et sa femme sont fiers de leur fille, ce dernier ne pense pas que son épouse accepterait que leur fils de 18 ans s’engage lui aussi. «Nous sommes déjà trop nombreux dans l’armée», lance cet homme de 48 ans, qui sert depuis plus de sept ans et dont le frère s’est également porté volontaire pour combattre après l’invasion. • À lire aussi: Je suis allé clubber à Kyïv Morts ensemble Marta note qu’elle et son papa ne sont pas les seuls dans cette situation familiale, énumérant un père et son fils au front, une mère et ses deux fils travaillant comme chauffeurs et une autre infirmière dont le père et le frère appartiennent à un bataillon d’infanterie. Et certains meurent ensemble. Oleg Khomiouk, 52 ans, et son fils Mykyta, 25 ans, se sont engagés ensemble dans l’armée peu après l’invasion. Ils ont tous deux été tués dans une tranchée près de la ville assiégée de Bakhmout. Oleg a recouvert son fils de son corps lors d’une attaque, mais un obus a explosé à proximité, les tuant tous les deux, selon Iouri Samson, le frère d’Oleg, lors de leurs funérailles à Kyïv. Le ministère ukrainien de la Défense a publié sur Twitter une photo des deux hommes côte à côte, armés et en treillis, avec l’inscription: «Ils sont morts ensemble.» «Une certaine tranquillité» Volodymyr Tchaïkovski, 54 ans, essaie de ne pas penser à la mort. Il sert dans la même brigade que son fils de 25 ans, également prénommé Volodymyr. «Bien sûr, je m’inquiète pour mon fils», dit-il, assis à ses côtés dans une maison abandonnée non loin du front, près de la ville de Lyman. Photo Anatolii Stepanov / AFP Volodymyr Chaïkovsky, à gauche, 54 ans, avec son fils de 25 ans, aussi prénommé Volodymyr, lesquels ont été photographiés en janvier dernier. «Mais il a de l’expérience... Et tout dépend avant tout de soi et de sa formation, ensuite c’est une question de chance militaire.» Avec des années de service, Volodymyr Tchaïkovski a été appelé le jour de l’anniversaire de son fils en 2015 pour combattre les séparatistes soutenus par Moscou. L’année dernière, il est revenu en tant que commandant d’un bataillon de chars. Photo Anatolii Stepanov/AFP Cette année, son fils et lui se sont retrouvés à l’occasion de son anniversaire, s’éloignant un instant du champ de bataille pour partager un café. «Il ne s’agit pas vraiment de fêter l’anniversaire, l’essentiel est de se voir, de ne pas être des soldats pendant un peu de temps, de parler de choses civiles», dit Volodymyr. Son fils estime que le fait d’être dans la même brigade «ajoute une certaine tranquillité d’esprit», car ils savent où se trouve l’autre et quelle est la situation. «Je ne sais pas combien de temps [la guerre] va encore durer», ajoute son père. «Mais nous devons y mettre un terme une fois pour toutes, pour ne pas laisser de problèmes à mon plus jeune fils.»
  2. Me semble que le calcul est simple. Exemple tu a besoin de 20 milliard pour les 5 prochaines année. Au final tu en a 15.. Tu fait quoi ?
  3. Vraiment super tous vos liens et trucs que je découvre. Merci ☺️ 

  4. La, c'est infernal, vraiment HS le site.

    1. chanchan2014

      chanchan2014

      ben chez moi, tout est ok. aucun souci

    2. bilou47190

      bilou47190

      Ben moi, toutes les 2 minutes, voir 1 coupé. Verify not robot .....

    3. jack

      jack

      Ne pas laissez de msg du genre sur ,mon profil. Il y a une section pour ca

       

  5. Ce site de piratage va bientôt mourir, mais pas pour les raisons que vous imaginez « Plus personne n’a besoin d’un dinosaure comme nous » 20 mars 2023 • 17:31 Partager Après 17 ans d'activité, le site de partage de fichiers Zippyshare annonce fermer ses portes à la fin du mois de mars 2023. Connu pour être peu regardant sur l'hébergement de fichiers musicaux illégaux, ce vétéran de la vague de piratage pré-plateformes de streaming légales ne ferme pourtant pas par pression des ayants droits. Le site de partage de fichiers Zippyshare va fermer ses portes fin mars 2023 après 17 ans d’activités… pas toujours légales. // Source : Capture d’écran Frandroid C’est l’un des vétérans de l’internet des années 2000 et 2010. Créé il y a 17 ans, le site de partage de fichiers Zippyshare a annoncé par la voix de ses administrateurs « mettre fin au projet à la fin du mois » de mars 2023, dans un billet de blog publié le dimanche 19 mars. Permettant d’héberger et télécharger des fichiers gratuitement à hauteur de 500 Mo, le site est connu comme l’un des acteurs majeurs de la vague de piratage de musique préplateformes de streaming légales comme Spotify ou Deezer. Au début des années 2000, l’arrivée concomitante des logiciels de téléchargement P2P et des baladeurs numériques MP3 provoque un changement des besoins et habitudes des consommateurs, préférant le piratage à l’achat de CDs en magasin. C’est sur ce créneau que s’est placé Zippyshare : comme Rapidshare, Hotfile ou Megaupload, tous disparus aujourd’hui, ce site peu regardant sur les droits d’auteurs permettait de télécharger gratuitement de nombreux fichiers musicaux illégaux. Au point d’être cité en 2015 dans un rapport du gouvernement fédéral des États-Unis comme un des « marchés notoires » de la distribution illégale de musique. Et pourtant, ce n’est pas par pression des ayants droit que Zippyshare ferme aujourd’hui ses portes. Adblock, factures d’électricité et désintérêt Deux raisons sont avancées dans le billet de blog du site. D’abord, la baisse des revenus des publicités affichées sur le site (seul modèle économique de Zippyshare) dû à popularisation des bloqueurs de publicités. Une annonce peu étonnante : le site était notamment connu pour ses encarts publicitaires invasifs. Les administrateurs reconnaissent d’ailleurs un cercle vicieux : « pour payer l’infrastructure du serveur, vous êtes obligé de placer de plus en plus de publicités, puis les utilisateurs mettent de plus en plus de bloqueurs de publicités et nous arrivons à la situation actuelle ». Zippyshare évoque aussi l’augmentation des frais d’électricité des serveurs, multipliés par 2,5 en une seule année. Mais surtout, les administrateurs reconnaissent que les internautes sont de moins en moins nombreux à utiliser le site : « Je suppose que toutes les entreprises concurrentes de service de stockage de fichiers sur le marché ont une meilleure apparence, offrent de meilleures performances et plus de fonctionnalités. Plus personne n’a besoin d’un dinosaure comme nous. » Au final, malgré son blocage par DNS en 2019 au Royaume-Uni, en Allemagne et en Espagne, la lutte contre le piratage n’aura pas été la cause de la fermeture de Zippyshare. Son attitude plus docile face aux demandes de suppression de contenu des ayants droit aura permis au site de survivre à ses concurrents… pour finalement mourir par désintérêt de son public.
  6. Je vois des millions de dommage Pourquoi ? ici c'est a 65 ans et le gouvernement voulais faire passer a 67 ans. Les canadiens etais pret a 67 ans. Mais vous la a 62 ans vous exagerer. Qui va la payer ? Bien beau de mettre la retraire a 62 , mais pas si le system est pas pret. pensee au annees futur . Ceux apres vous vont aussi en avoir besoin.
  7. Histoires incroyables: lorsque des rats ont détruit des billets de banque à l'intérieur d'un distributeur automatique de billets En 2018, un événement incroyable a secoué la ville indienne de Tinsukia : un groupe de rats a détruit des billets de banque à l'intérieur d'un distributeur automatique de billets, causant d'importants dommages économiques. L'incident a suscité l'étonnement et la curiosité dans le monde entier, entraînant des spéculations sur le comportement des rats et la sécurité des distributeurs automatiques de billets. Dans cet article, nous allons examiner de plus près cette histoire incroyable et tenter de comprendre ce qui a pu pousser les rats à agir de la sorte. Nous nous pencherons également sur les implications plus larges de cet événement, en soulignant les vulnérabilités des technologies financières et les défis auxquels la société est confrontée pour prévenir les menaces que représentent les animaux sauvages et les environnements naturels. (source BBC) Que s'est-il passé ? La ville de Tinsukia, située dans le nord-est de l'Inde, dans l'État d'Assam, a été le théâtre d'un incroyable incident qui a fait le tour du monde. Comme le rapporte la BBC, une meute de rats a réussi à détruire plusieurs billets de 500 et 2000 roupies à l'intérieur d'une banque locale, rendant également le distributeur automatique de billets inutilisable. Lorsque les techniciens sont arrivés pour réparer la machine, ils ont découvert des billets détruits d'une valeur de plus de 1,2 million de roupies, soit environ 13 300 livres ou 17 600 dollars. (source BBC) C'est là que les rats sont entrés en scène Les employés de la banque et la police locale ont trouvé les billets détruits et, parmi les restes de billets, la carcasse d'un des rats. La découverte de la carcasse a permis de résoudre le mystère : les rats avaient rongé les billets. La police locale a déclaré que les rongeurs avaient probablement pénétré dans la machine par un trou dans le câblage, rapporte le Hindustan Times. Sécurité bancaire Cette affaire a soulevé plusieurs questions sur la sécurité des banques et leur capacité à protéger l'argent de leurs clients. En outre, elle a suscité des inquiétudes en matière de santé publique, la présence de rats dans une zone où l'on manipule de l'argent pouvant entraîner des problèmes d'hygiène et de contamination. Quels dégâts ! Ce cas a montré que même les plus petits animaux peuvent causer des dommages considérables s'ils se trouvent dans un environnement favorable. Dans ce cas, les rats ont pu détruire une grande quantité d'argent et rendre un distributeur automatique de billets inutilisable. De toute évidence, la protection contre les dommages causés par ces animaux n'était pas suffisante, et des mesures de sécurité plus efficaces seront nécessaires à l'avenir. Partage social Les photos des billets détruits à l'intérieur de l'agence de la State Bank of India dans le district de Tinsukia ont été largement diffusées sur les médias sociaux. L'une des photos montre également un rongeur mort dans les décombres, mais nous avons délibérément évité de vous la montrer
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