Administrateur mediom1 Posted March 16, 2020 Administrateur Share Posted March 16, 2020 Hugo Duchaine Dimanche, 15 mars 2020 23:42 MISE À JOUR Dimanche, 15 mars 2020 23:42 L’inquiétude est palpable chez les restaurateurs et tenanciers de bars québécois, qui craignent de tout perdre si la crise sans précédent causée par le coronavirus ne se résorbe pas rapidement. • À lire aussi: «Dramatique» pour les bars et les restaurants « L’énorme défi sera d’assurer la survie [des établissements] », lance d’emblée François Meunier, vice-président aux affaires publiques et gouvernementales de l’Association Restauration Québec (ARQ). Dimanche le gouvernement Legault a exigé la fermeture des bars et demandé aux restaurants de réduire de moitié leur capacité d’accueil. Les restaurants de style buffet et les cabanes à sucre doivent fermer leurs portes temporairement. Ces mesures rigoureuses visent à enrayer la transmission de la COVID-19 dans la province. Pacini ferme tout Dans la même optique, Pacini a pris la décision « difficile » de fermer complètement tous ses restaurants pour 14 jours. La chaîne souhaite ainsi « protéger ses employés et la population », dit la vice-présidente des opérations, Isabelle Gamache. Peter SergakisHomme d’affaires Elle ajoute que les franchisés ont de vives inquiétudes économiques. Les employés pourront quant à eux obtenir de l’assurance-emploi. « Ça va trop loin », rage Peter Sergakis, propriétaire de nombreux établissements à Montréal. L’homme d’affaires estime que le gouvernement fait fausse route et tuera l’industrie. « C’est un temps de crise pour tout le monde », philosophe Gabriel Gallant, copropriétaire du Monopole, à Montréal. Son commerce, qui a un permis de bar, avait déjà encaissé des pertes estimées à 15 000 $ la semaine dernière à cause de plusieurs annulations. Il s’était donc déjà résigné à fermer l’endroit. Il espère maintenant une aide financière. Déjà moins de 50 % « On roule déjà à moins de 50 % [...] et on ne sait pas encore si c’est viable », souffle Sindie Goineau, sommelière et copropriétaire du resto Chez Victoire sur Le Plateau-Mont-Royal. Craintifs, les clients n’étaient plus au rendez-vous avant même les nouvelles directives de Québec. Pour leur part, Simon Dunn et ses associés de la Drinkerie Ste-Cunégonde « se croisent les doigts pour avoir une bonne collaboration » de leurs propriétaires lorsque viendra le temps de payer le loyer par exemple. François Meunier, de l’ARQ, appelle les gouvernements à venir en aide rapidement aux commerces et à leurs employés. « Il faudra se serrer les coudes pour passer à travers », poursuit David Gauthier du Bar Saint-Denis. Comme bien des collègues du milieu de la restauration, il espère que les mesures du gouvernement, malgré leur impact économique énorme, permettront un retour à la normale le plus rapidement possible. Quote À la gang, on sait tout. Mediom1-Administrateur Link to comment Share on other sites More sharing options...
hector Posted March 17, 2020 Share Posted March 17, 2020 Ils vont tomber comme des mouches , déja la plupart avaient du mal à suivre trop de réglementations, de taxes, de loyers la grande époque de la restauration est passée Quant aux bars ...indirectement l'état va en chier des ronds de chapeaux ! un client me l'a bien résumé : '''L'argent que l'alcool rapporte à l'Etat, c'est énorme ; moi cette année, rien qu'en picolant, j'ai payé l'impôt sur la fortune ! ''' Il n'est à craindre que - l'état pête ! (comprenne qui peut !) Quote Le paon est réputé pour sa flûte. Link to comment Share on other sites More sharing options...
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