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Montréal et le Français


hector

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Le pire c'est que c'est une féministe - DENISE BOMBARDIER - qui écrit cela !

 

Montréal et le français

Valérie Plante profite de la pandémie, une distraction de taille, pour faire passer un règlement révolutionnaire, nous a appris Radio-Canada. 

• À lire aussi: Femmage aux femmes

Il s’agit d’éliminer la prédominance du masculin sur le féminin. Depuis des années, des féministes exacerbées appuyées par des linguistes ont déclaré la guerre au français « macho ». 

À Montréal, la mairesse Valérie Plante, celle-là même qui a prononcé un discours officiel exclusivement en anglais sans s’en rendre compte, après coup, a trouvé un appui dans la mairesse d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, Émilie Thuillier, adepte de la neutralisation du genre. 

 

En clair, tous les documents émanant de Montréal vont appliquer la « communication épicène », qui consiste à éviter la règle de préséance du masculin. Il faudra donc dorénavant utiliser un mot neutre pour désigner un groupe mixte de personnes : par exemple, « la police » plutôt que « les policiers ». 

Selon le comité exécutif, « Il est temps de revoir notre façon de s’exprimer pour assurer l’inclusion de divers types de genre humain » !!! 

 

 

Audace 

Montréal réalisera un grand pas dans l’histoire de la langue française en damant le pion à la France elle-même. Précisons que l’Office de la langue française, jamais en reste d’audace idéologique, propose d’abandonner le masculin générique. 

La mairesse de Montréal et ses amies d’arrondissements affectionnent les combats qui sont dans l’air du temps. Maintenant, elles utilisent la pandémie pour inventer des règles grammaticales afin de « purifier » le français de son biais sexiste. Dans le même souffle, les adeptes de la communication épicène suggèrent de placer le féminin devant le masculin. 

Le français est une langue universelle. Qu’au Québec, on décide de ne pas respecter sa grammaire nous tribalise. Il y a une différence entre user de québécismes et déconstruire la grammaire dans une interprétation hystérique de l’égalité des sexes. 

À quand alors les pistes cyclables prioritairement aux femmes ?

Le paon est réputé pour sa flûte.

 

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001 - toi  tu y vas fort  !

J'en rajoute une couche  :

 

Radio-Canada rapportait vendredi que la Ville de Montréal soumettra bientôt ses employés à des séances de rééducation linguistique, pour leur apprendre à réécrire comme l’exigent certaines ultraféministes. En pleine pandémie, la gauche radicale garde le sens de ses priorités.

En gros, il faudrait réinventer les règles de la langue française. C’est le règne de l’écriture inclusive et épicène.

On apprendra à tordre les règles de la langue et à écrire de la manière la plus « neutre » possible, quitte à déformer la grammaire et le sens des mots pour lutter contre la supposée « suprématie du masculin ».

 

Grammaire

Idéalement, on veut effacer le masculin et le féminin – voyons-y un écho de la théorie du genre qui rêve d’un monde sexuellement neutre, aseptisé.

Tout cela au nom de l’inclusion et de la lutte contre l’oppression. Les grands mots accouchent de grands maux.

Comment ne pas voir là une forme d’hallucination idéologique et linguistique ?

Derrière l’écriture inclusive, on trouve une forme de féminisme paranoïaque qui se croit en lutte contre la « suprématie du masculin » dans la langue française. 

Ceux qui en font la promotion ont tendance à voir du sexisme dans les règles de la langue française, mais à n’en voir aucun dans le voile islamique.

C’est le néoféminisme académique qui cache derrière l’appel à l’émancipation féminine une aversion pour le grand méchant homme blanc.

Cette reconstruction idéologique du français est toxique.

Il faudrait pousser à l’apprentissage du français, pas le détruire

 

Le dialecte montréalais, qui versait déjà dans cette forme particulière de la démence linguistique qu’est le franglais, se détachera encore plus du français international. Nos Inclusifs, qui se croient ouverts sur le monde, nous enfoncent dans un provincialisme étouffant.

Il m’arrive de croire que la gauche radicale est une forme de névrose idéologique. 

Chose certaine, écrire correctement deviendra un acte de dissidence intellectuelle dans l’administration municipale « projetmontréalienne ».

 

Elle doit penser : qu'un monde qui n'est pas en évolution  est un monde en déclin ?

d'autres l'on fait avant elle... j'ai nommé  : les incoyables et les  meveilleuses  !

 

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Le paon est réputé pour sa flûte.

 

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