Administrateur mediom1 Posted November 15, 2022 Administrateur Share Posted November 15, 2022 Denise Bombardier Mardi, 15 novembre 2022 05:00 MISE À JOUR Mardi, 15 novembre 2022 05:00 On lisait dans La Presse d’hier que Sobhi Akra, originaire du Liban, s’est reconnu coupable en janvier dernier d’accusations de nature sexuelle à l’endroit de huit femmes, dont deux mineures. Ses avocats demandent une peine de six mois de prison afin de ne pas nuire à son désir de devenir citoyen et d’éviter que le Canada l’expulse. Le candidat à l’immigration a agressé ses victimes au hasard entre octobre 2017 et novembre 2018. Cela se faisait dans la rue en plein jour ou le soir. Sobhi Akra risque une peine de deux ans de prison. À noter qu’il choisissait des femmes « accessibles et vulnérables ». Dans quelle société vivons-nous ? Nous avons affaire ici à des avocats de la défense qui suggèrent six mois de prison pour que ce père de famille ayant des enfants en bas âge puisse avoir une meilleure chance d’être choisi pour recevoir la citoyenneté canadienne. Le juge Alexandre St-Onge rendra sa décision sur la peine le 14 février prochain, jour de la Saint-Valentin où l’on fête l’amour plutôt que les agressions sexuelles des femmes. Droits Nombre de candidats à l’immigration venus de tous les pays du monde souhaitent vivre au Canada, pays des droits de la personne, mais aussi de l’égalité entre les hommes et les femmes et de la protection contre les agresseurs sexuels des personnes vulnérables, enfants et femmes au premier chef. Or, le Canada refuse bon an mal an des centaines de milliers de candidats, dont un très grand nombre n’ont pas de dossier judiciaire. Il est atterrant que le système de justice au Canada, avec la lenteur qu’on lui reconnaît depuis trop d’années, laisse des individus pareils, ayant déjà avoué leur crime, attendre si longtemps leur procès. Il faut se demander quelle image le Canada veut projeter de son système de justice. De plus en plus, il y a des procureurs de la défense qui proposent des peines ridicules, pour ne pas dire irresponsables devant des juges qui, eux-mêmes, peuvent baigner dans les courants angéliques du Canada, terre d’une tolérance devenue intolérable. Un Canada où le désir de comprendre les criminels semble plus vif et plus marquant que la nécessité de se montrer empathique envers les victimes. Accueil Le Canada est un pays d’accueil et doit le demeurer. Mais ce n’est pas une terre qui doit fermer les yeux en laissant n’importe quel candidat à l’immigration devenir canadien. Le pardon existe pour toute sorte de criminels, certes, mais les agresseurs sexuels, voire les batteurs de femmes, sont des criminels d’une catégorie toute particulière. Ils agissent de façon pulsionnelle. Dans le cas qui nous occupe, Sobhi Akra choisissait ses proies, des femmes seules qui joggaient en écoutant de la musique par exemple, qu’il attaquait par-derrière en leur saisissant le sexe. Rien ne l’arrêtait. Sans statut officiel, la peur d’être expulsé du pays n’était pas un frein pour lui. Peu importe ses larmes durant le procès, peu importe qu’il ait avoué ses crimes, qui peut garantir qu’il pourra contrôler ses pulsions à l’avenir. On n’a affaire ni à un fraudeur ni à un voleur. Il s’agit d’un homme qui utilise les femmes pour assouvir ses fantasmes pervers. Pendant ce temps, des candidats à l’immigration désirant vivre en paix dans un pays qu’ils idéalisent souvent se font refouler ou renvoyer dans leur pays d’origine où l’espoir n’est plus à l’ordre du jour. Quote À la gang, on sait tout. Mediom1-Administrateur Link to comment Share on other sites More sharing options...
bigdadi Posted November 15, 2022 Share Posted November 15, 2022 mais non !! gardon les violeurs ,les bandits , les tueurs , et expulsons les bon migrant , il y a une belle gangs de ( bip bip bip bip ) dans la fonction publique les bip bip c'est pour resté polie 1 Quote merci a tout les menbres qui paticipe a zonenet Link to comment Share on other sites More sharing options...
Membre jack Posted November 15, 2022 Membre Share Posted November 15, 2022 La presse « Dans une mauvaise passe » L’homme originaire du Liban était « dans une mauvaise passe » au moment des faits, car il était frustré et insatisfait de sa vie au Québec, ont réitéré ses avocats Me Réginal Victorin et Me Andrée-Anne Blais. Il travaillait alors dans une fruiterie, n’aimait pas son emploi et ne s’était pas bien adapté à son immigration, selon leurs plaidoiries. L’agresseur serait désormais un homme nouveau. Il est l’unique pourvoyeur de sa famille et a des enfants en bas âge. « Il n’avait pas les outils à l’époque pour cheminer », a indiqué Me Victorin. Présent en salle d’audience, Sobhi Akra tapait nerveusement du pied en écoutant attentivement l’interprète judiciaire lui rapporter les plaidoiries. Il a versé quelques larmes une fois la séance levée. Sa femme demeurait silencieuse, les yeux au sol. ---------------------------------------------------------------------- Visiblement son esclave a plus de gene que lui. La courone demande 2 ans. Ok mais 2 ans par victime ? Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
bigdadi Posted November 16, 2022 Share Posted November 16, 2022 il la dit qu'il ne c'est pas bien adapté a sont immigration , alors pourquoi le gardé ici . je ne sais pas de quel pays y vient mais surement d'un pays ou il traite les femmes comme de la merde get out 2 Quote merci a tout les menbres qui paticipe a zonenet Link to comment Share on other sites More sharing options...
quebec001 Posted November 16, 2022 Share Posted November 16, 2022 Je pensais qu'en cas de crime expulsé . 1 Quote https://i.goopics.net/GxYEv.gif Link to comment Share on other sites More sharing options...
LeRetraité62 Posted November 16, 2022 Share Posted November 16, 2022 L'expulsion et ça presse! 1 Quote Signature Link to comment Share on other sites More sharing options...
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